Les circuits courts alimentaires, aujourd’hui au centre de questionnements politiques et sociétaux, contiennent des logiques économiques et sociales . Il s’agit d’identifier les caractéristiques sociales des agriculteurs (dimension économique, niveau de dipôme...) qui s’impliquent dans ces formes de commercialisation selon les différents marchés dans lesquels ils se placent. Il s’agit également de définir l’existence ou non de spécificités productives des exploitations.
